Le business de la musique jamaïquaine à depuis ses débuts été un business geré de manière relativement amateur et qui été controlé pour la plupart par des producteurs aux manières d’agir peu orthodoxes pour ne pas dire autre chose. La majorité des artistes ayant peu ou pas d’éducation et n’ayant pas beaucoup de poids dans une discussion quand au paiment dû pour une production, les producteurs en profitent pour leur payer des salaires misérables et ne leur donner aucun droit sur les revenus engendrés… Pour ce qui est du live c’est à peine mieu avec de nombreux promoteurs verreux qui payent mal ou pas du tout les artiste pour leur prestations.. Tout ça commenca à changer à la fin des années 70s et surtout dans les années 80 lorsque les tout le monde commence à etre au courant que le reggae dégage d’importants bénéfices et chacun veut un part plus équitable! Içi Tenor Saw explique très clairment la situation!
NDT : Ali Button est le nom générique donné au travailleur indien venu travailler en Jamaïque et qui se fait exploiter pour une misère.
Tu cours m’appeller pour me faire venir
Tu cours m’appeller pour me faire venir
Mais assures toi que lorsque j’ai fini de travailler
Que je puisse être payé